Aujourd’hui, près d’une espèce sur deux est un parasite. La plus grande majorité joue un rôle essentiel dans la régulation de l’écosystème. Les parasites peuvent infecter le corps humain et bien souvent la cohabitation n’est pas souhaitée.

C’est notamment le cas de la grande Douve du foie. Le parasite le plus long qui peut se loger dans l’organisme se nomme Diphyllothrium Latum. C’est le plus imposant, ce vers peut en effet mesurer plus de 9 mètres de long.

Il va séjourner dans votre intestin, il va apprécier cette nouvelle maison

Ce vers solitaire est à l’aise dans vos intestins. Il se déplace facilement. Les symptômes sont désagréables, mais inoffensifs. Vous serez atteint de diarrhées, de nausées, de fatigue et vous aurez des carences en vitamines, en minéraux. Ce parasite devient dangereux s’il migre dans votre foie, votre cerveau. Il est très important de ne jamais laisser entrer un parasite dans son organisme.

Il faut pour cela bien cuire la viande, le poisson, conserver les aliments au froid, avoir une hygiène rigoureuse. Si vous êtes végétarien, vous n’aurez pas à vous méfier de ce vers solitaire long de plus de 9 mètres de long. C’est peut-être une bonne raison pour changer de régime alimentaire.

Un vers qui peut vivre plus de 30 ans

Lorsqu’il est ingéré dans l’organisme, il est microscopique. Il faut seulement quelques semaines pour que ce parasite devienne adulte. Le corps humain peut être contaminé par des parasites. Ces petits locataires ne sont pas toujours les bienvenus. Le ténia de bœuf s’attrape en consommant du bœuf cru. Installé dans votre intestin, il va se développer bien tranquillement et atteindre plusieurs mètres de long.

Rassurez-vous, on peut s’en débarrasser avec un traitement de vermifuge. Lorsque vous préparez les repas, il est essentiel de bien se laver les mains, d’avoir des ustensiles propres, de bien laver les fruits, les légumes, de bien cuire la viande, le poisson. Vous éviterez ainsi de coloniser votre intestin de parasites. Le plus dangereux reste celui responsable du Paludisme.