Plan de cet article
L’histoire du tatoueur d’Auschwitz est poignante, mais il y a tout de même un peu d’espoir qui nous redonne le sourire. Au fil des mots, j’ai pu comprendre que Lale Sokolov avait vraiment un courage et une force incroyable. Dans cet enfer, il a réussi à survivre et son amour pour Gita n’a sans doute pas été étranger. Leur union voit le jour dans ce camp d’Auschwitz.
Certains passages sont vraiment difficiles à lire
L’auteure à savoir Heather Morris a tout de même partagé des moments difficiles notamment avec les enfants qui sont tués sans aucun remords. La description de Mengele est glaçante et elle montre à quel point cet homme a été ignoble avec les personnes dans le camp. Il était même pire qu’un cauchemar. J’ai tout de même été quelque peu déçue par ce roman et cela à cause de l’histoire d’amour qui prend selon moi un peu trop de place.
Parmi les inconvénients du roman, j’aurai tendance à citer le manque de profondeur et de descriptions par rapport aux décors, aux personnages, à leur interaction… Le roman aurait mérité d’être un peu plus long avec des détails sans forcément décrire précisément toutes les atrocités. Heather Morris ne s’est pas attardée sur l’horreur d’Auschwitz, mais sur l’histoire d’amour et cela peut quelque peu dénoter avec la première de couverture.
Les prisonniers d’Auschwitz avaient de l’espoir
Au fil du roman, vous comprenez rapidement que malgré les conditions de vie et l’horreur, les prisonniers avaient tout de même de l’espoir. Quelques incohérences ont également pu me déstabiliser au niveau du récit, cela peut donc entacher le témoignage de Lale qui reste tout de même très puissant au vu de ce qu’il a pu vivre.
Ce livre proposé par les éditions J’ai Lu relate des faits qu’il ne faudra jamais oublier puisque plus de 1.1 million de personnes ont perdu la vie dans le camp.
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