Spielberg : un réalisateur qui offre le pire comme le meilleur

Spielberg : un réalisateur qui offre le pire comme le meilleur

Steven Spielberg, réalisateur et cinéaste américain, a à son actif une panoplie de films. On lui connaît plusieurs genres cinématographiques, allant du thriller au fantastique, en passant par la science-fiction, l’histoire, la guerre, l’aventure et l’action. Si le réalisateur produit de très bons films, il a aussi connu quelques flops dans sa carrière. On fait le point ici !

Il y a eu des flops

Le réalisateur est surnommé The Entertainment King (le roi du divertissement), mais cela n’a pas toujours été le cas. Parfois, Steven Spielberg n’a pas drainé les foules dans les salles de cinéma, mais a plutôt offert au public des films qu’on a tendance à oublier. On pense notamment à Always (1989) qui raconte les frasques d’un jeune pompier mêlé à une créature étrange. Hook ou la revanche du capitaine crochet enregistre beaucoup trop de défauts et ne convainc pas au final. Le Bon Gros Géant se perd entre des personnages peu captivants et l’absence d’humour véritable pour un conte destiné aux enfants. Enfin, Sugarland express ne reflète pas véritablement l’art du réalisateur.

Le Top 5

Dans le top 5 des films de Steven Spielberg, on retrouve immanquablement Les Dents de la mer (1975), Indiana Jones et la dernière croisade (1989), Jurassic Park (1993), La liste de Schindler (1993), et E. T. l’extraterrestre (1982).

Son thriller, Les dents de la mer demeure un succès. Sorti en 1975, le film pourrait paraître « vieux » face à la gestion de l’image et du son aujourd’hui, qui permet de rendre plus captivante la représentation à l’écran. Mais ici, c’est à travers le suspens qui consomme notre peur que Spielberg signe l’œuvre d’art.

La fiction est racontée aux enfants dans E.T. l’extraterrestre qui débarque sur terre en pleine nuit et se lie d’amitié avec Elliot, un petit garçon. L’aventure est engagée avec Indiana Jones et Jurrasic Park dont la différence notoire entre les deux est le côté fantastique du dernier. Le drame se déroule avec Oskar Schindler qui nous conte un brin d’histoire pendant la guerre. L’industriel autrichien devient durant cette période l’ange gardien des juifs qui travaillent dans son usine.

À suivre également

Il ne faudrait pas manquer des films comme Il faut sauver le soldat Ryan, qui doit à tout prix être ramené chez lui sain et sauf alors que la guerre sévit. Le film, sorti en 1999, a reçu 9 prix. La Couleur pourpre et Amistad, deux films qui reviennent sur l’esclavage en Amérique, même s’il semble y manquer de la profondeur, méritent qu’on y jette un coup d’œil. Le Terminal, avec Tom Hanks, mêle avec un savant dosage, politique et romance, le tout dans un filtre comique. On n’oubliera pas A.I. Intelligence artificielle, avec David, ce robot de onze ans qui veut devenir un vrai petit garçon.

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