Discopathie dégénérative : des solutions pour la soigner

Soigner la discopathie dégénérative

C’est le vieillissement prématuré des disques vertébraux. En France plus de 70% de la population souffre d’un mal de dos. La plupart du temps on ignore les causes, les risques. Plusieurs facteurs sont incriminés dans l’apparition de la discopathie, le travail, l’obésité, le sport et les traumatismes, l’âge. Cette pathologie est à l’origine d’arthrose précoce et elle peut déséquilibrer la colonne vertébrale en cas de dégénérescence.

La prise en charge de la discopathie dégénérative

Les traitements de la discopathie reposent sur différentes méthodes. Les conservateurs qui ont pour but de maintenir les capacités physiques du patient.

  • Ils incluent les antalgiques, les anti-inflammatoires, l’exercice physique, la perte de poids, une ceinture lombaire, une rééducation via un kinésithérapeute, la balnéothérapie.
  • Les traitements chirurgicaux consistent à poser de disques artificiels.
  • La localisation la plus fréquente de cette pathologie se situa au niveau des lombaires (bas du dos).

Les symptômes de la discopathie

C’est la maladie la plus fréquente de la colonne vertébrale. Le facteur génétique joue un rôle dans l’apparition de cette pathologie ainsi que le manque d’exercice, les mauvaises postures. Le disque intervertébral va être affaibli. Le tabagisme et une alimentation déséquilibrée vont favoriser la déshydratation des disques vertébraux et ainsi les rendre vulnérables. Lorsque le disque est usé, il va moins amortir les chocs. Ce qui peut créer des micro-traumatismes, une inflammation.

Une discopathie peut aussi se manifester par une diminution de la sensibilité dans les bras, les jambes, un affaiblissement des membres, une difficulté à marcher lorsque le nerf est comprimé. La chirurgie est envisagée pour la discopathie lorsque les traitements médicamenteux et la rééducation ne soulagent plus les douleurs chroniques. Il convient de contacter un médecin dès les premiers symptômes, celui-ci pourra ensuite vous orienter vers un spécialiste, un rhumatologue, un kinésithérapeute afin de trouver la meilleure solution.

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