Tourmente chez les Delon : secrets et drames d’une famille célèbre

tourmente chez les delon

Depuis quelques jours, on assiste à un combat entre frères et sœur, c’est la tourmente chez les Delon. Monsieur Alain Delon en est la cause. Cette bataille judiciaire médiatique est  déplorable, car elle montre à quel point l’être humain est influençable, manipulable. Lorsque l’on vieillit, parfois on perd le sens des réalités, les pertes d’autonomie s’installent.

La dégénérescence fragilise la personne âgée, ce qui rend les choses de la vie plus compliquées. Ayant moi-même été confrontée à ce genre de situation avec mes deux sœurs, je suis attristée de ce qui arrive à ce grand acteur de talent.

Tourmente chez les Delon et les prémices d’une guerre familiale

Ce qui est dommageable dans tout ce déballage médiatique, c’est le manque de respect vis-à-vis d’Alain Delon, cet acteur tellement charismatique doté d’un talent immense. Il a accompagné tellement tous nos bons moments de cinéma. La liste de ces films est longue, le Samouraï, la Piscine, Monsieur Klein, le cercle rouge, le clan des Siciliens, Mélodie en sous-sol, deux hommes dans la ville, Astérix, Flic story. Ces films seraient trop longs à énumérer. Qui n’a pas frémi, pleuré devant un de ces films ? Aujourd’hui, cet immense acteur est dans la tourmente. Va-t-on pouvoir écrire une fin heureuse ?

Les conflits générés par l’argent, la jalousie ?

Face à la vieillesse d’un père, d’une mère, les enfants très souvent par manque de reconnaissance se rattachent à une seule question, « est-ce que l’on m’a aimé ». Ce n’est pas facile d’être un père, une mère. Il faut souvent se battre au quotidien afin d’éviter les erreurs. Lorsque l’on a plusieurs enfants, comment ne pas en choisir un au détriment des autres ? Toutes les familles n’ont pas des patrimoines énormes, mais le conflit est toujours présent, quel que soit le testament.

Prendre soin d’un parent vieillissant est lourd surtout si ce dernier montre quelques faiblesses neurologiques. Cela coûte moralement en énergie et en temps. L’aidant est bien souvent oublié. On croit que la famille parfaite, c’est les repas à Noël, les vacances au soleil, mais il n’en est rien en vérité. Très peu de familles sont en harmonie. Souhaitons seulement à monsieur Alain Delon la paix, le réconfort auprès de ses enfants, il nous a tant fait rêver.

Alain Delon, icône du cinéma français, a marqué de son empreinte indélébile l’histoire du septième art. Sa filmographie, riche et diversifiée, témoigne de son talent exceptionnel et de son charisme incontestable. Du jeune premier au patriarche du cinéma, Delon a traversé les époques en se réinventant constamment, tout en conservant cette aura de mystère et de séduction qui le caractérise.

Cinéma

Le fulgurant début de carrière

Alain Delon fait ses premiers pas au cinéma dans les années 1950. Sa beauté saisissante et son regard de ténébreux séducteur lui valent rapidement des rôles de premier plan. « Plein Soleil » (1960), réalisé par René Clément, est l’un des films qui a lancé sa carrière. Dans ce thriller psychologique, Delon incarne Tom Ripley, un personnage ambigu et fascinant, rôle qui lui permet de démontrer toute l’étendue de son talent d’acteur.

Sa carrière prend une dimension internationale grâce à des collaborations avec des réalisateurs renommés. « Le Guépard » (1963) de Luchino Visconti, où il joue aux côtés de Burt Lancaster et Claudia Cardinale, est un exemple éloquent de son habileté à s’intégrer dans des productions de grande envergure. Ce film, récompensé par la Palme d’Or à Cannes, confirme son statut d’acteur majeur du cinéma européen.

Les rôles emblématiques

Delon est également célèbre pour ses rôles dans des films policiers et des drames. « Le Samouraï » (1967), dirigé par Jean-Pierre Melville, est l’un de ses films les plus emblématiques. Dans ce long-métrage, il incarne Jef Costello, un tueur à gages solitaire et énigmatique, un rôle qui contribue à forger son image d’anti-héros. De même, « Borsalino » (1970), où il partage l’affiche avec Jean-Paul Belmondo, est un classique du genre policier, alliant élégance et action.

Au-delà des films noirs, Delon a su montrer une grande diversité dans ses choix de rôles. Dans « Rocco et ses frères » (1960) de Luchino Visconti, il interprète un personnage complexe, déchiré entre l’amour familial et la rivalité, démontrant ainsi sa capacité à s’exprimer dans un registre dramatique profond.

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