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Ce type de découverte reste rare, mais cela peut arriver à tout à chacun. Personne n’est à l’abri d’une telle découverte animale ou humaine. Comment réagir, faut-il ramasser les ossements, avertir la gendarmerie, la police ? Il est important de faire la différence entre des ossements humains et d’animaux. Si l’on n’est pas paléontologue, cela peut être compliqué.
Des indices, des éléments à ne pas négliger
Trouver des ossements lors d’une balade en forêt n’est pas très agréable. Avec la mort du petit Émile, ce type de découverte est néanmoins possible. La randonneuse est tombée sur un crâne, elle l’a ramassé, l’a mis dans un sac et chez elle, elle a appelé la gendarmerie. Aurait-elle dû ne pas toucher ses ossements afin de ne pas entraver les recherches ? Lorsque l’on trouve des ossements, certains indices peuvent nous aiguiller quant à leurs origines. Pour les animaux, le crâne est différent, on peut identifier un museau. Si vous découvrez des ossements, le plus simple est d’avertir les forces de l’ordre, d’appeler le 17. Des agents compétents viendront identifier votre découverte macabre.
Des analyses très minutieuses
Lorsqu’il s’agit d’ossements humains, la gendarmerie ou la police effectuent dans un premier temps une inspection des lieux et des ossements. Ils vont les numéroter, photographier les emplacements. Ils prélèvent ensuite tout un panel de choses qui entoure les ossements. Tout cela va être déposé dans des contenants spécifiques afin de subir des analyses très poussées. Elles vont déterminer le sexe, l’âge, le profil ADN de la personne. Si vous trouvez des ossements dans un parc ou dans la rue, la procédure de signalement reste identique. À partir du moment où l’on trouve des objets étranges, des ossements, il faut appeler le 17. Il est recommandé de ne pas toucher votre découverte telle qu’elle soit. On n’est pas obligé de signaler une telle découverte pourtant, c’est fortement recommandé, car les ossements peuvent appartenir à une personne recherchée. Trouver des ossements en forêt n’a rien d’anodin et pourtant l’actualité nous démontre que cela est possible.
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