Plan de cet article
Alors que la planète traverse une crise sanitaire d’envergure inédite, d’autres problématiques ne font plus forcément l’actualité. Le réchauffement climatique dont l’impact est de plus en plus important est pourtant le sujet de notre siècle. Le brise-glace Polarstern est revenu de son expédition en Antarctique et la situation est désastreuse.
Une glace de plus en plus fine
Nous vivons une époque incertaine dans laquelle de plus en plus de problématique d’ordre sanitaire, social ou climatique va apparaître. Le climat est le point le plus important pour l’être humain. La planète est un vaisseau que nous sommes en train de détruire. Afin de déterminer encore plus précisément les effets de la fonte de glace sur notre climat, l’institut Alfred-Wegener a effectué une expédition d’un an dans l’Arctique. Le constat est dramatique puisqu’en été les scientifiques ont constaté que la glace était finie et friable et qu’il y avait de plus en plus d’étendue d’eau à la place. Pour la faune, c’est un désastre puisqu’on peut se demander comment les ours polaires vont survivre sans la glace.
Un océan arctique sans glace dans un avenir proche
Des scientifiques venant d’une vingtaine de pays ont participé à cette expédition. Ils ont constaté une hausse des températures également en hiver. Le but de l’expédition était de récolter des données (150 To récoltés en 1 an) et de prendre des échantillons de glace et d’eau afin de déterminer comment pourrait évoluer notre climat dans les années à venir. Le réchauffement climatique que subit notre planète pourrait avoir un effet encore plus fort sur l’Arctique à l’avenir avec une disparition totale de la glace en été. Plus d’une centaine de paramètres ont pu être enregistrés afin de mieux comprendre le système climatique de l’Arctique.
Il est impératif que nos pays et nos gouvernements trouvent des solutions afin d’inverser la tendance et de permettre un avenir plus radieux pour les générations futures. Quand on sait que l’on annonce des températures toujours plus intenses voir insoutenable à l’horizon 2050, il est temps de faire bouger nos populations afin de ne pas subir une crise bien plus difficile à gérer que celle du Covid-19.
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